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Retour05 avril 2019
Pierre Bellemare - pbellemare@lexismedia.ca
Le président de la SSJB de Montréal réclame l’intervention de la mairesse
Il est originaire de Berthierville
©gracieuseté - L'Action d'Autray
Me Maxime Laporte est originaire de Berthierville.
CULTURE. L’ordonnance de 30 jours décrétée par le ministère de la Culture est une opportunité de tout mettre en œuvre pour fixer un avenir heureux à l’ancien monastère des Moniales Dominicaines de Berthierville.
Originaire de l'endroit, Me Maxime Laporte fait appel à la mairesse Suzanne Nantel. Il est président de la SSJB de Montréal.
Forces vives
«Il serait faux, sinon lâche, de prétendre qu’aucune solution n’est envisageable», affirme-t-il par communiqué.
Mentionnant que Berthierville n’est pas la seule municipalité aux prises avec ce genre de problématique, il rappelle que plusieurs ont réussi à relever des défis similaires en faisant preuve d’un tant soit peu de créativité.
«À cet égard, j’interpelle les gens d’affaires de la région de Lanaudière et d’ailleurs, notamment les milieux de la culture, du tourisme et de l’hôtellerie », insiste-t-il.
Président de la société nationale des Québécoises et Québécois de Lanaudière, Roger Gaudet joint sa voix à la SSJB de Montréal ainsi qu’à la corporation du patrimoine de Berthier, Action Patrimoine et la MRC de D’Autray.
«Nous sommes tous et toutes très préoccupés par la situation et exigeons que des mesures soient prises afin d’éviter le pire. L’ancien monastère des Moniales Dominicaines constitue une plus-value pour la région de Lanaudière, un véritable trésor à protéger des bulldozers», maintient-il.
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