07 mai 2019

Pierre Bellemare - pbellemare@lexismedia.ca

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©gracieuseté Éric Monette, Leclerc Motorsport - L'Action d'Autray

Les progrès significatifs aux essais de dimanche n’ont pas été suffisants pour trouver une place sur la grille de départ.

Pour la journée de samedi, l’équipe a tout tenté avec des pneus usagés pour trouver des réglages compétitifs, mais en vain. Le lendemain, lors des essais, cette fois avec des pneus neufs, des progrès significatifs ont été notés mais pas assez suffisamment pour donner à la voiture et son pilote assez de performance pour trouver une place sur la grille de départ.

Point de vue

Claude Leclerc conserve tout de même un moral d’acier.

«Certes, c’est une déception de ne pouvoir accéder à la finale mais Barre ce sera toujours Barre, un endroit où il est extrêmement difficile d’y être performant à moins d’y rouler de façon régulière et constante. À preuve, le vainqueur, pour une deuxième année de suite, est Jason Corliss, un pilote local pendant que le double champion en titre de la série, Scott Paya, n’a pas réussi à se qualifier lui non plus», a-t-il dit.

La course du weekend des 4 et 5 mai, contrairement à la première de la saison, n’a été marquée que par quatre ralentissements et, des autres pilotes québécois, Michael Lavoie a également raté la finale pendant que Jonthan Bouvrette et Mathieu Kingsbury étaient du départ. Ils ont terminé respectivement au 13e et 22e rang.

Le fait que la voiture soit en un seul morceau est sa plus grande consolation. «Nous serons au rendez-vous samedi prochain à White Mountain dans le New Hampshire avant de revenir courir chez nous en Beauce, dans deux semaines», a précisé la Lanorois.

Parlant de la compétition à l’autodrome Chaudière de Vallée Jonction, les 18 et 19 mai, la course portera le nom de Claude Leclerc, en hommage à sa longue carrière de pilote. (PB)