Culture
Retour31 juillet 2019
Pierre Bellemare - pbellemare@lexismedia.ca
Un nouvel appui pour la sauvegarde du monastère des Moniales
Présentation au Conseil du patrimoine culturel du Québec
©Pierre Bellemare - L'Action d'Autray
Le monastère et les boisés qui le ceinturent ont à ses yeux une valeur inestimable.
CULTURE. Pianiste de renommée mondiale connaissant bien Berthierville et vivant maintenant à Paris, Hélène Mercier appuie le mouvement de sauvegarde du monastère des Moniales Dominicaines de Berthierville.
«Je n’ai pas de connaissances en matière de structure, de fondations et d’architecture mais, à n’en point douter, ce monastère et les boisés qui le ceinturent ont à mes yeux une valeur inestimable», commente-t-elle dans une lettre acheminée (24 juillet) au Conseil du patrimoine culturel du Québec (C.P.C.Q.).
Argumentation
Mme Mercier écrit bien connaître Berthierville depuis son enfance.
Elle mentionne y être retournée à plusieurs reprises avec sa mère Lucille Rouleau Mercier. «Ma mère a un attachement personnel à cette ville puisqu’il s’agit de son enfance et de son adolescence. Elle est désolée par la destruction possible de ce monastère. Personnellement, pour l’avoir vu, il me désole de songer à ce qu’un tel immeuble soit démoli», signifie-t-elle.
Il déclare avoir lu avec intérêt le mémoire du comité citoyen pour la sauvegarde du monastère des Moniales dominicaines présenté au C.P.C.Q.
Il lui apparaît extrêmement triste qu’on puisse envisager de démolir ce monastère érigé en 1934 ainsi que la petite chapelle attenante qui y fut ajoutée plus tard. Elle en favorise la reconversion à une fin socioculturelle ou communautaire.
Mme Mercier prend l’engagement d’y donner le premier concert inaugural, à titre gracieux, si on réussit à sauvegarder le monastère et à le convertir tout en préservant la petite chapelle.
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