Encore plus pour se rapprocher du but à Île Dupas

Projet du parc à vivres

©gracieuseté - L'Action d'Autray

Des bénévoles ont préparé le terrain, l’automne dernier.

Les succès s’additionnent sur le chemin du projet agricole pédagogique «Le parc à vivres – Une forêt pour se nourrir» à Île Dupas. Cette fois, c’est une aide de 25 000$ du programme d’aide aux collectivités (PAC) rurales de la MRC de D’Autray qui suscite les sourires du comité Environnement d’Île Dupas et de la municipalité.

La nouvelle subvention permettra d’assurer la continuité du projet et sa pérennité. La bonne nouvelle arrive après les coups de pouce successifs de 15 000$ de 100 Degrés et de Québec en Forme ainsi que de 3000$ du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec lors d’un concours de 100 Degrés.

Initiative

«C’est un réel succès pour notre projet. On est super enthousiastes de pouvoir rendre accessible un tel milieu à la fois éducatif et délicieux avec l’implication de différents partenaires. Ça démontre qu’il y a l’intérêt et l’appétit dans notre MRC pour des projets novateurs qui sont différents et nous rapprochent de la terre», a mentionné la mairesse d’Île Dupas, Marie-Pier Aubuchon.

«On a très hâte que les citoyens puissent constater les bénéfices concrets de la forêt nourricière, qu’ils s’en inspirent et qu’il y goûtent, surtout!», a renchéri Amélie Drainville, principale initiatrice du projet.

Cela sera possible dès cet été puisque les premières récoltes pourront être réalisées. Une programmation variée d’activités pédagogiques sera dévoilée à la fin du printemps pour les saisons estivales et automnales.

L’aide de 25 000$ sera utilisée pour acheter des plants, du compost et tout matériel utile à la réalisation de l’aménagement comestible en plus de permettre, justement, la création d’activités pédagogiques accessibles à toutes les catégories d’âge.

Rappelons que la forêt nourricière, qui commence à prendre forme sur un terrain municipal à l’ouest de l’île, permettra aux citoyens et passants, dès cet été, d’avoir accès à de la nourriture locale, biologique et abondante en permanence, en plus d’offrir des activités pédagogiques pour informer les citoyens des vertus de cet aménagement. (PB)

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