Effarouchement des oiseaux migrateurs : pour minimiser les dommages aux cultures

  • Publié le 29 mars 2025 (Mis à jour le 23 mai 2025)
  • Lecture < 1 minute

Le service d’effarouchement de la Fédération de l’UPA de Lanaudière est de retour pour la saison. Ce service permet de contrôler les dommages occasionnés par le passage des oiseaux migrateurs tels que les oies ou les bernaches sur les terres agricoles de la région.

L’effarouchement est réalisé seulement lorsqu’il y a des risques pour les cultures, au moment de la reprise de la végétation ou lors des semis. Les effaroucheurs utilisent des pistolets de départ qui feront fuir les oiseaux. Certains collaborateurs, détenant déjà un permis de chasse à l’oie des neiges, contribueront aussi à l’effort collectif.

Pour signaler la présence d’oiseaux indésirables sur leurs terres, les producteurs agricoles de Lanaudière pourront communiquer avec Michel Demouy au 450 883-2815. Il est aussi possible pour les agriculteurs d’effectuer eux-mêmes des activités d’effarouchement sur leurs terres, en utilisant un pistolet de départ disponible auprès de fournisseurs autorisés. Comme pour les effaroucheurs, ils doivent toutefois détenir un permis d’effarouchement du Service canadien de la faune.

Ce projet est financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation.

Articles les plus consultés

Cette année encore, les gens de la région auront l’occasion d’épier les prouesses de Matthieu Therrien et de son père Guy. (Photo gracieuseté)
Actualités

Le Circuit de motoneige sur l’eau est de retour à Lavaltrie

Le Circuit de motoneige sur l’eau du Québec (CMEQ) ouvrira de nouveau sa saison à Lavaltrie, le 14 juin, sur le plan d’eau de la rue Cartier.
(Photo Médialo - archives)
Actualités
Faits divers

Plus de 2 400 cigarettes de contrebande saisies à Lanoraie

(Photo gracieuseté)
Actualités

Le Parti Québécois déplore les coupures de services

La députée de Terrebonne, Catherine Gentilcore, a tenu un point de presse le 30 mai dernier à l’hôtel du Parlement afin de dénoncer l’insuffisance de la politique de transport adapté du gouvernement.