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18 mars 2021

Comment changer un comportement ou une habitude que vous détestez avec 3 questions :

 

Vous tentez désespérément de vous débarrasser d’un comportement qui vous nuit ou vous dérange sans pour autant y parvenir? Vous aimeriez trouver des informations utiles qui vous permettent à coup sûr d’amorcer ce changement?

Voici 3 questions qu’utilisent les professionnels de la psychologie comportementale. Ces éléments une fois découverts peuvent vous aider à amorcer le changement d’habitude ou de comportement que vous souhaitez, de façon durable. 

 

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Cela vous aidera à traiter le changement de façon bénéfique, car il sera alors cohérent pour vous.

1. En quoi cette habitude ou ce comportement vous dérange?

Cette première réflexion devrait vous amener à plusieurs réponses, ce qui est totalement souhaitable. Car ces pistes de réflexion font partie de votre cheminement mental et de votre logique. Les questions posées mobilisent différents critères que vous observez et c’est ainsi que vous construisez votre réalité. 

Un changement conscient ne peut en effet s’opérer durablement en vous, que lorsque vous l’abordez de façon systémique. C’est pourquoi il est important de découvrir votre propre écosystème, avec ses règles et son écologie. Cela vous aidera à traiter le changement de façon bénéfique, car il sera alors cohérent pour vous.

Parmi les règles de votre écosystème se retrouvent entre autres vos valeurs, vos croyances, vos intentions de vie et votre vision du monde. Ce sont tous des critères que vous construisez avec votre personnalité et à travers vos expériences. Et tous sont imbriqués dans vos principes d’interaction relationnels, sociaux, économiques et culturels.

Le principe d’utilité à considérer lors d’une difficulté à changer durablement.

L’écologie de votre écosystème se retrouve dans le principe d’utilité. C’est le rôle ou la fonction de vos dysfonctionnements, ou de ce que vous pourriez percevoir comme tel. Lorsque vous n’arrivez pas à modifier une habitude ou un comportement, il est essentiel d’observer ce qui bloque et de trouver l’utilité de ce qui ne vous semble à priori pas adéquat.

Un dysfonctionnement est-il un défaut?

Il est commun de considérer certains de dysfonctionnements comme des défauts. Si vous êtes par exemple une personne très discrète et réservée à qui l’on demande régulièrement dans son travail de parler en public, il se peut que vous éprouviez le besoin de changer. Ainsi vous pourriez souhaiter ou rêver de vous transformer en orateur-oratrice hors pair. 

Mais si au contraire votre poste requiert du calme et de la confidentialité, vous vous sentirez fort probablement à votre place et ne verrez en vous aucun dysfonctionnement ni matière à changer ce comportement.

C’est pourquoi il est très important de comprendre comment fonctionne votre écosystème avant de vouloir opérer tout changement important. Car en ne respectant pas le principe d’utilité, ces changements pourraient au mieux ne pas durer dans le temps, et au pire, aller à l’encontre de votre bien-être. 

2. Comment vous assurer de respecter vos propres règles et rester en accord avec vous-même?

Une double question à se poser en premier lieu est : comment se fait-il que ce changement n’ait pas eu lieu avant? Qu’est-ce qui m’a retenu.e de le réaliser? 

En auto questionnant, vous recherchez en vous quelle est l’utilité de cette habitude ou de ce comportement. A quoi il sert ou qu’est-ce qu’il vous évite. Toutefois même si ces questions sont à votre portée, il est souvent plus facile de trouver les vraies réponses lorsque c’est une autre personne qui vous les pose. Dans ce cas-là vous pourriez faire appel à un.e psychologue ou un.e coach professionnel.le de façon à effectuer une transformation durable et en douceur.

3. Qu’est-ce qui sera différent lorsque le changement souhaité sera acquis

La troisième question à vous poser est : qu’est-ce qui va changer lorsque vous aurez modifié cette habitude ou ce comportement que vous trouvez dérangeant? En effet, pour mettre en route un changement, rien de tel que visualiser ce qu’il va vous apporter. L’idéal est de créer une expérience sensorielle en observant :

- où vous vous trouvez physiquement lorsque le changement se produit,

- ce que vous voyez concrètement autour de vous, en image ou animé

- les sentiments et les émotions que vous ressentez à ce moment précis,

- ce qu’une personne qui vous observe voit de vous au moment où le changement se produit (votre posture, ce que vous portez comme habit, etc.).

Vous l’aurez compris, l’adoption de tout changement doit être abordée comme une nouvelle réponse, plus adaptée et plus cohérente, qui vous permet d’avancer et de devenir qui vous voulez, tout en respectant votre propre écosystème.

Les recherches en psychologie comportementale et d’intelligence artificielle et la recherche du bien-être. 

La firme Neuligent mène des recherches en psychologie comportementale qui visent à faciliter le bien-être des personnes au travail. L’une de ses recherches se concentre sur l’acquisition de talents en entreprise optimisée par la psychométrie 360. Elle offre une vue complète des candidatures, appliquée dès le recrutement, afin de favoriser l’adéquation poste-personne de manière personnalisée. Placées dans un contexte de réalisation d’une tâche, les données issues du profil psychométrique 360 sont ensuite traitées et valorisées avec l’IA tout au long de la chaîne de gestion des talents. 

L’exploitation de ces données permet ainsi de mieux comprendre et d’anticiper certains comportements, sans pour autant les juger hors contexte. En effet, l’objectif est de prédire comment telle personne va aborder la tâche, non pas uniquement d’un point de vue d’une compétence métier, mais également de celui de son écosystème.

Cet angle de vue a l’avantage de ne pas porter de jugement de valeur sur ce qui compose la personnalité d’un individu. Il vise au contraire à reconnaître l’unicité de chaque personne et mieux utiliser ses propres critères dans le contexte des tâches à réaliser. De ce fait, les considérations de changement seront moins axées sur la volonté de se conformer à un système social ou culturel, que sur la réelle volonté d’évolution de la personne elle-même.

 

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