Propriété de Stéphane Guillemette, GCIA Événements est partenaire du projet qui est le fruit de l’association de Tuxedo et Ad Litteram. C’est une réponse à une demande grandissante pour un concept clé en main de vente, captation et diffusion de spectacles.

Contexte

Ad Litteram a créé Livetoune en 2012 afin de mettre en images la majorité de ses œuvres et en assurer la promotion. Elle est dans l’industrie de la musique depuis 1998, initialement en tant qu’éditeur musical. Depuis 2016, c’est aussi une maison de disques et une maison de production scénique.

De son côté, Tuxedo offre un logiciel de billetterie. Commercialisé par le groupe iCible, il joue un rôle de leader dans l’industrie de la billetterie au Québec depuis 2015. À l’heure actuelle, près de 90 salles de spectacles l’utilisent. À elles seules, elles vendent près de 20% de l’ensemble des billets des spectacles francophones de la province.

En raison de la pandémie de coronavirus, GCIA Événements a vu disparaître environ les trois quarts de son chiffre d’affaires suite à l’annulation ou du report des activités qu’elle organise.

Elle a créé son studio puisque ses quelque 400 clients corporatifs continuaient à avoir des besoins de communication (colloque, session de formation et autres) malgré le coronavirus.

Il fallait aussi trouver une solution pour que les artistes aient de nouveau des rentrées d’argent malgré la pandémie de la COVID-19.

Il a été utilisé une première fois le samedi 13 juin pour le Relais pour la Vie du Grand Joliette, qui s’est tenu de façon virtuelle.

En parallèle, le partenariat avec Livetoune a été noué.

Cette plate-forme propose plusieurs services regroupés sous une même entité. Il s’agit de la billetterie en ligne, de la captation d’événements (spectacles, formations, conférences, webinaires ou autres), de la diffusion de ces événements en ligne avec un accès unique pour les détenteurs de billets ainsi que de la promotion numérique des événements.

Les services proposés par Livetoune peuvent être pris en globalité ou séparément, selon les besoins.

Cette initiative pourra continuer lors de la reprise de spectacles en salle en permettant aux diffuseurs de réaliser des formules hybrides en salle et virtuelles.